Texte 1

J'ai décidé de crée une rubrique dans lequel il y'aura mes textes !

(sil-vous-plais ne prenez pas mon texte)

Voilà le premier que j'ai fait :

Assise sur ce ce banc si près de la plage désérte appartenant à ma famille, j’ouvre cette boitre remplis de souvenir si cher à mes yeux. Depuis la mort de mon père, il n’y a pas un jour où je n’ouvre pas ce petit coffre qui lui-même est une mémoire à l’homme de ma vie à qui je souhaite bien plus que du bonheur, malgrès qui ne soit plus avec nous. En premier, je sors un petit bracelet fait avec des fils roses que j’avais crée quand j’avais 4 ans avec lui pour un projet qui à l’époque je réjouissait tant : celui de devenir créatrice. En effet, à cette époque , tous les films qui passait sur la télé que j’aimais parlait de création. Ensuite, je sors un petit carnet de voyage que j’avais écrit à mes 7 ans. Mon écriture était désastreuse et donc je ne n’ai pas la moindre idée de se qui est écrit, mais vu que j’ai toujours eu une bonne mémoire, je me rappelle qu’il parlait d’une histoire d’une famille heureuse qui réstait pour toujours unit. J’aurais tant voulu que cette histoire soit vrai et qu’il soit encore avec moi. En troisième, c’est un coquillage que je sors. C’était quand j’avais 8 ans, donc un ans après le deuxième souvenir. Je l’avais trouvé magnifique et si je l’es gardée, c’est parce que je l’avais trouvé avec mon père. Puis je commence à sortir un dessin que j’ai dut faire à mes 9 ans et demi. C’était moi, maman et papa .. Ce dessin serait bien aller avec le carnet. Je n’es pas plus de souvenir que ça vu qu’il est mort à mes 10 ans. J’ai encore dans ma chambre sa chemise bleu qu’il aimait tant, et qui chaque soir se retrouve dans mes bras. Je remet tous ces souvenis dans la boite et me lève du banc dans lequel le soir, on mangait des glaces tous en rigolant. Devant, je voix un arbre qui n’a jamais existé auparavent. Je me dis que c’est impossible et que je dois rêver, mais j’entend dès que je me retourne des criants mon prenom, des « Mina, je suis là ! » Cette voix je la reconnaitrais entre mille, et quand je voix que dérrière il y’a mon père, je ne doute plus qu’elle appartient à lui. Choquée, je cours vers lui et il ouvre ses bras. Moi, je rentre dedans évidament. Je commence à pleurer et à crier « Papa ! ». Je sais bien que ce n’est qu’une illusion et que je ne suis pas dans ses bras, mais je prèfère lui parler une dernière fois, même si en vrai je suis en train de parler toute seule. Dès que je sors de ses bras, il me fait un signe de la main que je lui rend. Puis l’arbre qui devait surement être l’arbre de la vie disparait, et mon père aussi. Ce n’était qu’un mirage, mais c’est grâce à cette illusion qu’aujourd’hui, c’est le plus beau jour de ma vie.

CE TEXTE EST FICTIF ! ENCORE UNE FOIS NE LE PRENEZ PAS !

Donnez votre avis ;)